Un Suisse Allemand l’a rachetée. Il a fait ce qu’il me restait à faire, soit la carrosserie. Les ailes arrières et un bas de caisse avait bien ramassé avec les années. J’avais fait la mécanique, pneus, intérieur, etc. Mais, mettre encore une vraie fortune pour la carrosserie était indispensable et démesuré.
C’est une voiture avec laquelle j’ai adoré le capital sympathie. Les gens venaient raconter leurs histoires de vies avec des voitures comparables, parlaient souvent de personnes ou de voitures qui les avait marqué.
Mais moi, je ne trouvais que trop peu de plaisir à la rouler. Ma génération automobile est arrivée au début des années 80 et s’est terminée au début des années 2000. De plus, presque à chaque fois que je devais aller aux pièces, ça devenait des sources à ennuis. Il y a eu des contacts géniaux et d’autres a dégoûter les plus perspicaces.
En même temps que j’avais cette voiture, elle était en interchangeables avec la Golf G60 Blue de mon pote, nous restaurions ensemble nos voitures en même temps. On voyait très bien que je m’éclatais à bosser sur la Golf et pas sur la 100S.
Mon Graal dans la marque aux anneaux tourne entre des Ur, des SQ, des S6+, dès RS2, des S4 et RS4 B5, des 200 20v turbo Avant, des 90 Quattro Sport, S3 8L, etc...
A présent, dans la restauration de ma Smart comme celle de mon cabriolet Audi 80, j’ai appris à m’entourer et à me démerder le plus possible par moi-même. Ceux à qui je demande des conseils ou de l’aide sont clairement des personnes de confiance. J’ai fait bien trop de mauvaises expériences.
Donc, pas de regrets pour cette 100S. De plus, elle est actuellement entre de très bonnes mains, c’est l’essentiel.